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Présence de la psychanalyse Bordeaux
25 mai 2019 - 9 h 00 min - 11 h 00 min
Une rencontre avec Roland Gori, animée par Jean Paul Rathier, est prévue à la Machine à Musique, à 11h30. Nous pourrons débattre autour de son dernier ouvrage La nudité du pouvoir. Voici un lien pour une présentation plus complète de cette rencontre : http://lamachinealire.com/?fond=contenu&id_contenu=3963&id_dossier=492
Nous modifions donc l’horaire de notre matinée de travail qui se déroulera de 9 h à 11 h à l’Alliance française, 126 rue de l’abbé de l’épée à Bordeaux.
- Séminaire de lecture
Florence Briolais et Christian Cazeneuve poursuivrons la lecture du texte de Lacan “Réponse au commentaire de Jean Hyppolite sur la Verneinung de Freud ». Nous terminerons ce texte avec les développements de Lacan sur l‘acting out. (p. 393 à 399 des Écrits).
- L’atelier du cas
Béatrice Guitard interviendra sous le titre : Position subjective, désir et fin d’analyse.
“Ce travail s’inscrit dans le prolongement de notre séance de travail du 6 Avril dernier. Il y avait été question du rêve de « l’injection faite à Irma » et de l’angoisse de Freud dans l’expérience traversée par lui devant le surgissement de ce savoir nouveau d’où sortira sa découverte de la psychanalyse. Se risquer à la rencontre avec un « savoir sans sujet » n’est effectivement ni sans angoisse ni sans effet. Il conduit à une « désappropriation de soi », véritable opération de modification de la position subjective.
A travers deux figures à la fois mythiques et littéraires analysées par Lacan :
– Antigone, dans le séminaire l’ ETHIQUE en particulier le chapitre XXI ( p 315 ) intitulé « Antigone dans l’entre deux morts »,
-La trilogie des Coûfontaine, pièce de Paul Claudel commentée dans le séminaire le TRANSFERT et plus précisément le chapitre XIX intitulé « Le non de Sygne »( p 315 ), je propose de continuer la réflexion sur les fondements du désir en lien avec la position subjective sur laquelle il prend appui.
La modification de cette position subjective au cours du travail analytique n’est-elle pas ce qui est attendu d’une fin d’analyse avec comme effet la libération du désir et la création qui l’accompagne ?