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10h à 12h – Le collectif  : Psychanalyse et politique 

Rémi Brassié remi.brassie@gmail.com Dimitri Sakellariou dimpiersak@gmail.com 

Stéphanie Bourdy (philosophe) interviendra sous le titre : Sous la fin d’un monde, d’autres possibles ? Le cas Détroit.

14h à 16h – L‘atelier  : L’amour, l’a-mur

Fabienne Guillen fabienne.guillen@wanadoo.fr

Abel Guillen Interviendra sous le titre : La question de l’amour dans un symptôme de conversion.

Argument : Nous suivrons le travail d’élaboration d’un analysant à propos d’un symptôme de conversion, de ses tentatives de déchiffrer son enveloppe formelle jusqu’au réel de ce dernier. Nous questionnerons le fait que ce symptôme, relativement secondaire au début de son analyse, est revenu avec force, pour condenser au plus près l’articulation de son symptôme avec son fantasme et l’orienter dans sa cure. Enfin, nous essaierons de répondre de ce qu’il en est de la question de l’amour pour notre sujet et ce qui en est mobilisé par son symptôme.

16h à 18h – La mise…en commun

Elisabeth Rigal elisabeth.rigal6@orange.fr 

Rémi Brassié interviendra sous le titre : Cliché du transfert et son négatif.

Argument : En proposant ce thème, j’imaginais cela comme un rejeton et une digression du travail présenté en novembre 2019 à Paris : Amour de Psychanalyse. Il s’avère que j’y retrouve la question qui m’anime et que j’essaye d’articuler sur ce qui permet qu’une psychanalyse puisse avoir lieu. Je partirai de la réponse que faisait Lacan lorsqu’on l’interrogeait lors d’un congrés de l’EFP dans les années 70 sur son rapport à Freud : « Je définirai mon rapport à Freud comme de l’ordre du transfert négatif. »