La psychanalyse dans son rapport au monde
Auteur: COLLECTIF
La psychanalyse dans son rapport au monde
Chers collègues,
Lors de la plénière du 16 décembre dernier, nous avons commencé à débattre de la cité dans le discours analytique, à l’instigation de Marie-Jean Sauret. Dimitris Sakellariou a témoigné du travail déjà mis en place à Toulouse par le groupe “Psychanalyse et politique”.
Le capharnaüm des différents appels, prises de position, listes, etc. dévoile le malaise des psychanalystes face aux événements qui secouent notre société contemporaine. Il les laisse démunis. Il s’agit de prendre le problème autrement, là où il se pose : qu’est-ce que la psychanalyse a à nous dire, de ce qui traverse la communauté humaine? Qu’avons-nous à en entendre et à en faire entendre?
C’est la responsabilité de la psychanalyse dans le monde qui se pose dans toute son acuité, à laquelle ne se sont dérobés ni Freud (à propos de la guerre), ni Lacan (Sur mai 68).
Au Pari de Lacan de relever ce défi, ce que Pierre Bruno, Marie-Jean Sauret et quelques autres ont commencé à faire. Ce chantier a semblé si important à l’assistance que suite à la demande qui en a été faite, l’enregistrement de la discussion est mis en ligne, et vous le trouverez ci-joint.
D’autre part nous avons demandé que les travaux présentés par le groupe Psychanalyse et politique soient diffusés sur le site.
Cordialement à vous,
Le bureau